Le mépris, le dédain, l'aversion me sont malaisés ou inconnus, mais l'indulgence, la pitié, le pardon, le support me sont plus chers et plus doux. J'aime à aimer, à admirer, à respecter, à rendre heureux et par conséquent, dès qu'il n'y a pas obstacle positif, dès que les choses s'y prêtent un peu et que les gens ne s'y refusent pas trop, je reviens volontiers à cet état de bienveillance, sans laquelle on n'éprouve et on ne donne point de paix.