L'enfant paresseux préfigure l'être de sagesse : il se refuse aux connaissances inutiles.
La connaissance parfaite des sciences exactes n'empêche pas un homme d'avoir l'esprit faux.
On a rarement une connaissance réelle de soi-même. C'est ce qui rend la vie supportable.
Comment un spermatozoïde peut-il, de but en blanc, décider de faire un enfant à un ovule dont il vient à peine de faire la connaissance ?
La connaissance de l'homme nous porte à l'indulgence.
La connaissance des femmes est un art où personne n'a jamais passé maître.
Il en est des connaissances comme des bienfaits : donner, c'est acquérir ; en enseignant, nous apprenons.
La connaissance d'une erreur est un pas vers la vérité, c'est l'ombre indiquant le point où se trouve la lumière.
Acquérir la connaissance de soi-même, c'est s'approvisionner d'indulgence pour autrui.
Quelles que soient les connaissances que nous acquérons, quelques étrangères qu'elles paraissent à nos goûts, à nos habitudes, à notre position même, il arrive toujours un moment où elles nous deviennent utiles.
Souvent ce que l'homme a gagné en connaissances, il l'a perdu en sensations ; il eut mieux valu pour lui savoir un peu moins et sentir davantage.
Il ne suffit pas d'avoir l'intention de faire pour entreprendre, et, en tout, c'est se hasarder beaucoup de croire qu'il suffit de quelque connaissance pour faire.
Tel est capable d'arriver aux plus hautes connaissances qui n'est pas capable d'y conduire les autres ; et il en coûte quelquefois plus à l'esprit pour redescendre que pour continuer à s'élever.
Plus j'avance dans la connaissance intime de moi-même, plus j'apprends à être indulgent à l'égard des autres.
La connaissance des autres est un moyen de connaissance de soi. On ne connaît pas soi par soi.
Une foule de connaissances entassées ne fait pas plus un savant qu'un tas de pierres rassemblées au hasard ne fait un bel édifice.
Qui étale ses connaissances ne montre que sa présomption.
L'étude est souvent en défaut et dupe d'elle-même : tandis qu'elle s'occupe des vaines connaissances qu'elle désire, elle oublie la chose essentielle qu'elle devrait savoir.
Acquerrez des connaissances, elles guérissent de l'indiscrétion et de la médisance.
De grandes connaissances montrent combien peu l'homme sait, et de grandes richesses de combien peu l'homme peut jouir.
La connaissance du cœur humain est la science la plus importante comme la plus difficile.
Trop souvent le bonheur s'évanouirait avec la connaissance du cœur qu'on aime.
On n'acquiert la connaissance du cœur de l'homme que par des malheurs et des voyages.
Un homme de beaucoup d'esprit peut mépriser les connaissances humaines, parce qu’il voit trop où elles finissent ; un sot peut les mépriser aussi, parce qu’il ne voit pas seulement où elles commencent. L'ignorance de ce qu'on vaut rend bien aimable, mais la connaissance précise de ce qu'on vaut rend bien habile.
L'ignorance de l'orgueilleux dans la connaissance d'autrui est la première cause de son malheur.
Pour que la connaissance ait une chance de s'incarner dans le présent d'un cours, il faut cesser d'y brandir le passé comme une honte, et l'avenir comme un châtiment.
La connaissance de soi-même est la première de toutes les connaissances.
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