Les citations sur connaître (2).

La plupart des femmes se connaissent trop, ou ne se connaissent pas assez.

Si vous voulez connaître le cœur d'un homme, observez l'accueil que lui font ses égaux.

L'homme apprend à tout connaître, hors lui-même : il sait ce qui se passe au soleil, qui est à plusieurs millions de lieues de lui, et il ignore ce qui se passe en son estomac, qui est en lui !

On pardonne à ceux qui se connaissent et qui se blâment, bien plus aisément qu'à ceux qui se méconnaissent et qui s'approuvent.

Vous qui voulez connaître les hommes, méfiez-vous des livres, observez beaucoup, et surtout voyagez. Les préjugés sont comme ces plantes qui perdent leur force sous un ciel étranger.

Apprendre à se connaître soi-même est le fondement de la sagesse.

Pour bien connaître les choses et les personnes, il faut commencer par en faire le tour, ensuite les examiner en dedans.

Connaître son tempérament, c'est avoir trouvé le meilleur médecin.

Savoir se connaître et tirer parti de sa médiocrité vaut mieux à l'usage qu'une supériorité mal employée.

En cherchant à connaître le cœur de l'homme, si vous découvrez d'abord quelques bonnes qualités, gardez-vous de pénétrer plus avant : l'esprit et le parfum résident à la surface du vase, la lie est au fond.

Les hommes étudient sans cesse les femmes sans jamais vraiment les connaître : les femmes n'ont pas besoin de nous étudier, elles nous devinent.

Celui qui est parfaitement connu est en quelque façon soumis à celui qui le connaît.

Qui se connaît se méprise, et qui se méprise est affranchi de l'opinion.

On peut connaître tout, excepté soi-même.

Ne rien connaître de Dieu ni de l'éternité de l'âme, c'est ne pas être.

Il est plus aisé de connaître l'homme en général que de connaître un homme en particulier.

À la trogne, on connaît l'ivrogne.

Connaître l'harmonie s'appelle être constant ; connaître la constance s'appelle être éclairé.

Qui se connaît lui-même est éclairé.

Qui connaît les hommes est prudent.

Ne pas connaître l'éveil conduit à la confusion.