Il arrive dans le malheur un instant où, épuisé, accablé, ayant perdu tout espoir, on s'abandonne en quelque sorte soi-même, et, par une bizarrerie de la nature, c'est souvent alors que le cœur et l'esprit, soulagés de la foule de sensations qui les agitaient, laissent voir tout à coup ce qu'on aurait dû faire, et ce qu'il reste encore à faire.