Tout s'expie : À père pilleur, Dieu donnera un fils gaspilleur.
S'il est humiliant de passer pour le père de sa femme, il l'est encore plus d'en paraître le fils.
Mon fils croit aveuglément en moi, et je crois aveuglément en lui. Nous n'avons pas de secrets l'un pour l'autre.
Pour obtenir de votre fils qu'il vous respecte, il faut commencer par le respecter lui-même.
Le sein de la mère est le berceau de son fils, ses genoux sont sa chaise, ses bras son monde, et une mère environne son fils d'un amour infini.
Un père est toujours autorisé à écarter son fils de la mauvaise voie dans laquelle il le voit s'engager.
Le cœur d'une mère correspond directement avec le cœur de son fils, comme s'il n'en pouvait jamais être complètement séparé et comme si tous deux battaient à côté l'un de l'autre.
Si vous punissez votre fils pour une action qu'il vous a vu accomplir vous-même, n'espérez pas qu'il prenne votre sévérité pour une preuve de votre tendresse, et du souci que vous avez de corriger ses défauts.
Ne faites point devant votre fils ce que vous ne voudriez pas qu'il fit par imitation.
L'éducation est la meilleure part de l'héritage qu'un père laissera à son fils.
Un fils doit être accoutumé à n'attendre de ses parents que l'éducation nécessaire à un homme pour faire son chemin ; on lui donne l'outil, la manière de s'en servir, mais pas un sou.
Mon fils a quarante-cinq ans, j'étais à mille lieues de m'imaginer qu'il songeât à se marier. J'avais compté sans les miracles qu'opèrent deux beaux yeux.
La voix du sang : Montrez-moi un père qui comprenne son fils ?
Instruisez votre fils, il rafraîchira votre âme, et il sera les délices de votre cœur.
Fils tu es, père tu seras ; ce que tu donnes tu recevras.
Un père a deux vies : La sienne et celle de son fils.
La gloire du père et l'imitation de ses vertus est le propre héritage du fils.
Un fils est un filou donné par la nature.
Au fils de ton voisin, lave-lui le nez, et prends-le pour tien.
Un fils est un créancier donné par la nature.
Le plus glorieux monument qu'un père puisse laisser de soi-même, c'est un fils, image de ses mœurs, de sa vertu, de sa constance, de sa piété, de son génie.
On élève les fils comme des pères, tandis qu'ils devraient être élevés comme des hommes.
Un fidèle affranchi, de vie intègre et pure, est un fils par le cœur, sinon par la nature.
À qui Dieu ne donne pas de fils, le diable donne des neveux.
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