Un jour, lorsque je n'appartiendrai plus à cette terre, mon esprit y reviendra peut-être pour dire aux hommes les secrets de mes souffrances, de mes joies, de mon amour, de ma vie intellectuelle. Que personne alors n'ait peur de moi, ne soit effrayé à ma vue ; si, à minuit, j'apparais à quelque âme souffrante et inquiète, ce sera uniquement pour calmer son agitation, faire brûler sa lampe avec plus d'éclat, pour être sa sœur et son amie.