Le jeune homme, agité tout à la fois par la fièvre qui le dévore, et tenté par les exemples corrupteurs que le monde offre à ses yeux, aura bien de la peine à se soutenir si vous parents ne l'affermissez. Fortifiez-le donc ; armez-le de bonne heure des plus sages conseils sur les mauvaises fréquentations ; revenez à la charge à mesure que le péril augmente ; ne vous lassez pas de travailler, jusqu'à ce que le caractère soit tout-à-fait formé.