Johann Wolfgang von Goethe.
Biographie :

Les 63 citations de Johann Wolfgang von Goethe :
Une différence qui ne fournit rien à l'esprit n'est pas une différence.
La première et la dernière chose qu'on doive exiger du génie est l'amour de la vérité.
Le monde est une cloche fêlée, elle fait du bruit mais elle ne sonne pas.
Les grands talents sont les plus beaux moyens de conciliation entre les hommes.
Seul mérite l'amour et la vie celui qui quotidiennement doit les conquérir.
Là où les idées manquent, un mot arrive toujours à temps.
Celui qui ne présume pas trop de lui-même vaut beaucoup plus qu'il ne croit.
La prévision est simple, la rétrospection est multiple.
Rien de plus inconséquent qu'une logique conséquente.
Tout homme à qui l'on communique une idée féconde ne devient pas producteur : Il lui vient là-dessus à l'esprit quelque chose que tout le monde connaît.
L'erreur est fort bonne tant que nous sommes jeunes, mais il ne faut pas la traîner avec nous dans la vieillesse.
Qui ne connaît pas les langues étrangères ne sait point la sienne.
Les hommes se connaîtraient mieux entre eux si l'un ne voulait pas toujours s'égaler à l'autre.
Il ne se fait rien de sensé que la raison et le hasard ne puissent mener à mal.
Qui demande trop, qui aime le complexe, est exposé aux égarements.
Sais-tu lire, tu dois comprendre ; sais-tu écrire, il faut que tu saches quelque chose ; peux-tu croire, tu dois concevoir ; si tu demandes, tu t'obliges ; si tu exiges, tu n'obtiendras pas, et, si tu es éclairé, tu dois te rendre utile.
Nul ne peut porter de jugement sur l'histoire, s'il n'a pas eu lui-même une histoire.
Ce qui affranchit notre esprit sans nous donner l'empire sur nous-mêmes est pernicieux.
L'individualité provoque l'individualité.
La musique excellente n'a pas le même besoin de la nouveauté ; au contraire, plus elle est vieille, et plus on y est accoutumé, plus elle produit d'effet.
Je rencontre de temps en temps de jeunes hommes que je ne souhaiterais pas de voir changés ni réformés ; seulement je m'inquiète d'en voir plusieurs entièrement disposés à se laisser emporter à la dérive par le torrent du siècle, et, là-dessus, je voudrais faire observer sans cesse que, dans sa fragile nacelle, l'homme s'est vu mettre la rame à la main précisément pour qu'il obéisse, non pas au vouloir aveugle des flots, mais à la volonté de son intelligence.
La première et la dernière chose qu'on exige du génie, c'est l'amour de la vérité.
La perfection est la loi du ciel, la tendance à la perfection est la loi de l'humanité.
La beauté est passagère, et cependant elle semble seule appeler les hommages des hommes. Ce qui reste après la beauté ne charme plus, et ce qui ne charme pas est mort.
La licence est la tendance de l'homme ; le respect des mœurs et des usages, celle de la femme.