Si Dieu tenait la vérité dans sa main droite et dans sa gauche l'amour toujours inquiet de la vérité, qu'il me dît : Choisis ! — fussé-je condamné à me tromper éternellement, j'opterais pour sa main gauche, et la prenant humblement : Père, lui dirais-je, la vérité n'est que pour toi.