L'espérance de votre parfaite guérison, puisse-t-elle toujours aller en augmentant !
La médecine moderne vient enfin de constater que le repos, le grand air et un bon tempérament assuraient la guérison d'un malade. Hippocrate était de cet avis.
Bien des gens ne travaillent point à leur guérison, parce qu'ils ne se croient point malades. Qui se jugera tel qu'il est, n'aura pas sujet d'être si content de lui-même.
Les douleurs les plus vives, les plus poignantes, et que tous les remèdes de la thérapeutique ne sauraient alléger, celles auxquelles le temps seul peut apporter, si pas une guérison entière, au moins des palliatifs, sont les douleurs de l'âme.
Accepter sa maladie est le premier pas vers la guérison.
La vie est une maladie sexuellement transmissible et pour moi la guérison est proche.
Malheureux est celui qui se confie au temps pour la guérison de ses maux ; car si le remède est infaillible, il est fort lent ; il est si lent, que d'ordinaire, avant qu'il ait produit son effet, le malade a cessé de vivre.
Il n'y a que les mauvais médecins qui désespèrent de la guérison.
On doit sa guérison plus souvent à la force du tempérament qu'à l'effet des remèdes.
Un mental fort est la moitié de la guérison.
Une guérison prompte et parfaite est tout ce qu'on doit désirer dans la maladie.
Connaître son mal est déjà une demi-guérison.
Rien n'entrave une guérison comme de changer sans cesse de remèdes.
Il y a des rechutes dans les maladies de l'âme, comme dans celles du corps. Ce que nous prenons pour notre guérison n'est le plus souvent qu'un relâche ou un changement de mal.
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