Que l'on puisse, de ces fougueux désirs, de ces larmes intarissables, espérer le bonheur divin, c'est une erreur dont il faut délivrer ton âme.
Quand je pense trop à toi, toi si loin de moi, je m'abîme dans mes larmes.
Quand on a l'âme attristée, les larmes soulagent et font du bien.
Deux larmes ont roulé des yeux de ma mère, deux seulement ; mais j'ai pu suivre sur les joues de ma pauvre mère le chemin qu'elles avaient suivi par la trace qu'elles avaient laissée. Ces deux larmes avaient creusé ses joues comme un torrent de lave creuse les flancs d'un volcan.
Il est de douces larmes que font couler les heureux souvenirs, des souvenirs qu'on retrouve toujours au fond de son âme, comme en plein midi et sous un ardent soleil on retrouve encore de la rosée au fond de l'herbe dont la cime est brûlante.
L'œil ne voit bien Dieu qu'à travers les larmes.
Les femmes ont le don des larmes et un merveilleux talent pour pleurer.
Trop plein d'ivresse un cœur joyeux déborde en larmes d'allégresse.
Larmes de femme, larmes de crocodile !
La rosée rafraîchit, la pluie fertilise. Tes larmes sont-elles pluie ou rosée ?
On est accoutumé à attacher peu d'importance aux larmes des enfants. Pourquoi ? La souffrance n'est point fonction de l'âge.
Quand il pleut sur mon visage, je goûte la fraîcheur de ces larmes sans chagrin.
Les regrets m'emplissent l'âme, et les larmes me remontent aux yeux.
Je ne veux pas que ton âme soit troublée, tes larmes me sont un supplice. Je ne veux connaître d'autres devoirs que celui de te rendre heureuse.
Le chagrin simulé des femmes ce sont des larmes de séduction passive.
Il y a souvent des larmes qui viennent de la joie.
Ne crois jamais être à tes dernières larmes.
Les chagrins sans larmes ont eu des aînés.
Les vraies larmes ont de la mémoire.
Toutes les ardeurs s'éteignent, toutes les larmes ne sèchent pas.
Le grand amour finit souvent par des larmes ; ses jours de fête sont comptés.
Quand la parole ne réussit pas, les femmes appellent les larmes.
Dieu a confié aux femmes le sort des larmes.
Il faut avoir le cœur placé haut pour verser certaines larmes : la source des grands fleuves se trouve sur le sommet des monts qui avoisinent le ciel.
Pour captiver l'amour, il lui faut des alarmes, et bien loin que l'absence en éteigne les feux, l'impatience accroît les désirs amoureux et le bonheur doit nous coûter des larmes.
Celui qui mit des larmes sous les paupières a mis de la sensibilité dans les cœurs.
Les larmes effacent tout, et la vraie douleur se fait toujours respecter.
Tel qu'une larme, Amour, quand il darde sa flamme, jaillit de l'œil d'abord, et se pose sur l'âme.
La plus sotte exagération est celle des larmes : elle agace comme un robinet qui ne ferme pas.
Nos joies comme nos douleurs doivent s'absorber dans notre œuvre ; on ne reconnaît pas dans les nuages les gouttes d'eau de la rosée que le soleil y a fait monter ! Évaporez-vous, pluie terrestre, larmes des jours anciens, et formez dans les cieux de gigantesques voûtes toutes pénétrées de soleil.
Les serments, les larmes, les désespoirs, tout cela coule comme une poignée de sable dans la main. Attendez, serrez un peu, il n'y aura tout à l'heure plus rien du tout.
As-tu réfléchi combien nous sommes organisés pour le malheur ? On s'évanouit dans la volupté, jamais dans la peine. Les larmes sont pour le cœur ce que l'eau est pour les poissons.
Les larmes des veuves affligées par la mort de leurs maris se perdent dans l'idée de se remarier, comme les fleuves dans la mer.
Il est des blessures qui ne cicatrisent jamais, il est des larmes qui sont toujours amères.
La douleur est plus adaptée à notre nature que le plaisir. L'homme à qui tout succède selon ses vœux oublie de vivre. La douleur seule compte dans la vie, et il n'y a de réel que les larmes.
Les personnes qui pleurent le plus ne sont pas toujours celles qui se souviennent le plus longtemps de l'objet de leurs larmes.
Peut-être les femmes ont-elles tort de commander au nom des larmes, et d'asservir ainsi la force à leur faiblesse : mais quand elles ne craignent pas d'employer ce moyen, il réussit presque toujours, au moins pour un temps.
L'éloquence des larmes est la plus persuasive de toutes ; elle commande la sympathie, impose l'émotion, et obtient par son silence ce que les cris et les supplications les plus vives arracheraient avec peine. C'est une puissance irrésistible dans la femme ; elle fait triompher sa faiblesse.
L'amour ne s'effraie pas des larmes, et il sait les consoler sans les comprendre.
Les larmes ont leur source dans le cœur : toute larme qui ne sort pas du cœur est bientôt séchée.
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