Louis-Philippe de Ségur
Biographie :
Homme politique, historien, poète et chansonnier français né le 10 septembre 1753 à Paris, le marquis Louis-Philippe de Ségur est mort le 28 août 1830 dans sa ville natale à l'âge de 76 ans.
Les 61 citations de Louis-Philippe de Ségur :
Le sentiment est plus persuasif que l'esprit.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Lorsque l'ambition s'empare de l'âme, elle y étouffe tout autre sentiment, dès qu'elle parle, la nature se tait.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Le principal avantage de la justice et de la bonne foi, c'est de rendre la force inutile.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) On recommence ses fautes quand on les oublie.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Pour un observateur attentif, la physionomie est le portrait du caractère.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Il est plus dangereux d'attaquer la superstition que la foi.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) J'aime beaucoup mieux dire des sottises qu'en entendre.
Louis-Philippe de Ségur - Le sage bavard (1801) L'hymen est le port de l'amour.
Louis-Philippe de Ségur - L'hymen et l'amour (1801) La paresse est le limon de l'esprit.
Louis-Philippe de Ségur - Le ruisseau (1801) Rien ne s'abaisse si bas que l'orgueil qui veut s'élever.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Quand la vérité ne choque pas, elle excite l'admiration et la porte jusqu'à l'enthousiasme.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Ne parler de ses amis avec éloge, c'est ne pas faire le sien.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) L'excès de l'amour de l'indépendance produit le désordre, affaiblit les forces qu'il divise, et détruit les ressorts qu'il use à force de les tendre.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Le sort de toute nation divisée est de devenir la proie de l'étranger.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Tel est le malheur des guerres d'opinions, soit politiques, soit religieuses : chacun, voyant la vertu de son côté et le crime dans le camp ennemi, croit tous les moyens légitimes pour arriver à son but, et enfreint sans scrupule les règles de la morale et de la justice.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Le fanatisme politique est aussi étranger que le fanatisme religieux aux principes de justice et aux sentiments d'humanité.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Le despotisme, qui se joue de la raison et des hommes, se plaît aux choix les plus bizarres.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Dans tous les temps les mêmes passions produisent les mêmes effets : on a vu et on verra toujours l'esprit de parti créer des conspirations pour se donner le droit et le mérite de les punir.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Selon l'ordre éternel, l'abaissement a son terme comme l'élévation.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) La modestie n'est pas incompatible avec la fierté.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) La fierté résiste plus que l'orgueil.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Le devoir des femmes est d'être vertueuses ; leurs privilèges semblent les borner à le paraître : quelques unes savent et font leur devoir ; plusieurs oublient leur devoir ; mais toutes se souviennent de leurs privilèges.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Une femme fidèle, tendre et féconde, est l'ornement de sa maison, la félicité de son époux et la gloire de son sexe.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Une femme adultère est une mère sans entrailles.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Les revers ralentissent mais n'arrêtent pas l'ambition.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) La pire des tyrannies est celle qui opprime la pensée.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Une heureuse vieillesse est le fruit d'une sage jeunesse : l'une a préparé à l'autre de nobles voluptés.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) La colère, l'envie, la vengeance et la haine sont des torches qui embrasent la terre.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) La sottise est une maladie contagieuse, surtout chez les sots.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823) Les grands malheurs font sentir le besoin des grands talents.
Louis-Philippe de Ségur - Les pensées et maximes (1823)
Explication d'un proverbe italien par le comte de Ségur :