Les citations sur le mariage (2).
Les citations et aphorismes sur le mot mariage :
Le mariage est le piège où nous attend le monde méchant et l'inexorable destin.
Je ne suis pas marié et je ne me marierai jamais ! Il est des unions libres aussi sacrées, des unions aussi indissolubles que le mariage.
Le mariage sans amour possible, c'est le désespoir ; sans amour présent, c'est l'espérance.
L'amour est la lampe qui illumine la vie, le mariage en est la veilleuse.
Il en est du mariage comme d'une charrue à laquelle sont attelés le mari et la femme : Tant qu'ils tirent tous deux de concert, la charrue va bien ; mais si la femme se met quelque fantaisie dans la cervelle, le mari se chagrine ; la femme alors tire d'un côté, le mari de l'autre, la charrue devient mal attelée, et le ménage s'en va à tous les diables.
Le mariage n'a que des peines pour ceux qui n'ont plus de goût pour les plaisirs de l'innocence.
Un mariage n'est bon qu'autant qu'on n'en pourrait pas faire un meilleur.
S'il est possible que l'amour dans le mariage soit un rêve, alors c'est le plus beau des rêves, et s'il se réalise quelquefois, même à demi, il ne doit y avoir rien de plus doux ni de plus élevé au monde.
Le mariage est une entreprise qui promet d'inestimables bénéfices, mais il y a un cahier des charges.
Le mariage n'est pas un monologue, c'est une pièce à deux personnages dont chacun n'étudie qu'un rôle : celui de l'autre.
Les hommes sont pour le mariage, les jeunes gens pour le plaisir.
Dans un mariage bien assorti, les âmes se communiquent leurs forces mutuelles ; non seulement l'hymen résiste à tout, mais il forme avec les chagrins et les douleurs, des chaînes plus puissantes que les plaisirs mêmes.
Les femmes d'aujourd’hui ne veulent du mariage que les plaisirs de l'amour.
Le bonheur dans le mariage dépend de tant de convenances, que c'est une folie de les vouloir toutes rassembler. Il faut d'abord s'assurer des plus importantes : quand les autres s'y trouvent, on s'en prévaut ; quand elles manquent, on s'en passe.
Pour être heureux en ménage, il faut être un homme de génie marié à une femme tendre et spirituelle, ou se trouver, par l'effet du hasard qui n'est pas aussi commun qu'on pourrait le penser, tous les deux excessivement bêtes.
La cérémonie du mariage est le trait d'union entre l'homme et la femme, le lit est la parenthèse.
Le rapide amour qui commence un mariage est un diamant, une perle, un joyau ciselé par le premier des arts, un trésor à enterrer au fond du cœur.
Le mariage est encore la meilleure façon pour une femme de devenir invisible.
Le mariage au fil du temps perd les conversations si nécessaires à ses longs jours.
Un bon mariage est une douce société de vie pleine de constance et de confiance.
La fidélité que le mariage impose aux deux époux est le plus saint de tous les devoirs.
En affaire de mariage, les nœuds qu'on veut trop serrer rompent.
Dans le mariage, la contrainte et l'amour vont mal ensemble, et le plaisir ne se commande pas.
Ceux qui aiment la vérité doivent chercher l'amour dans le mariage, c'est-à-dire l'amour sans illusions.
Le mariage est une chose si importante que ce n'est pas assez de toute la vie pour y réfléchir.
Le mariage, depuis le moment où il est conclu et scellé, est une chose à faire, non une chose faite.
Le mariage doit être l'union parfaite et sacrée de deux cœurs, union si rarement réalisée ou même désirée ; à défaut de ce caractère, la vie reste incomplète et le mariage, sinon un péché, du moins une grande erreur.
Le plus grand des doutes, c'est le bonheur tranquille que promet le mariage.
Soyez époux heureux, mais respectueux : obtenez tout de l'amour, sans rien exiger du devoir ; et que les moindres faveurs ne soient jamais pour vous des droits, mais des grâces : souvenez-vous toujours que, même dans le mariage, le plaisir n'est légitime que quand le désir est partagé.
Quand il ne s'agit que de s'aimer, il n'y a pas de danger à se laisser mutuellement séduire par les charmes et les qualités l'un de l'autre, mais quand il s'agit de mariage, il serait utile que chacun sût s'il pourra supporter les défauts de l'autre.
Il n'y a rien de si beau qu'un mariage bien réglé, bien paisible.
Le mariage est une douce société de vie, pleine de constance, et d'un nombre infini d'utiles et de solides offices, et d'obligations mutuelles.
Un bon mariage ne doit pas trop appartenir ni ressembler à l'amour, mais plutôt à l'amitié.
Le mariage fait de l'amour un crime, et l'amour du mariage une torture.
Quand le navire conjugal chavire, les hommes sont le plus souvent cause du naufrage.
Pour les femmes qui se marient avec de vieux hommes riches, le mariage est un omnibus dans lequel, à peine assises, elles voudraient une correspondance pour l'allée des Veuves.
Le mariage ressemble à un procès : il s'y trouve toujours une partie de mécontente ; et si l'une dupe l'autre, la moitié des mariés joue certainement la comédie aux dépens de l'autre.
On serait bien souvent plus heureux dans le mariage si on ne craignait pas de le paraître.
Le mariage est une chose grave, et quand il s'agit d'engager toute sa vie sur un mot, il faut y réfléchir longtemps.