Auguste-Michel-Benoît Gaudichot dit Michel Masson.
Biographie :
Auteur dramatique, journaliste et romancier français né à Paris le 31 juillet 1800, Auguste-Michel-Benoît Gaudichot, dit Michel Masson, est mort le 23 avril 1883 à l'âge de 82 ans dans sa ville natale. Paul Masson a été inhumé au cimetière Montmartre.
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Les 21 citations de Michel Masson :
Les étourdis ne font jamais ce qu'ils disent, et les sages ne disent jamais ce qu'ils font.
Obliger, c'est bien, le mieux est d'obliger vite.
Les chemins épineux sont ceux qui mènent à la gloire.
Il faut toujours garder une poire pour la soif.
Il y a de sublimes douleurs devant lesquelles il faut se taire et pleurer !
L'amour-propre le plus noble tient toujours par quelque endroit à la faiblesse humaine.
L'héritage le plus fructueux qu'on puisse laisser à un fils, c'est une solide éducation et une profession honorable.
L'amour est le meilleur et le plus doux de tous les moralistes ; il modère toutes les passions, excepté celle qu'il inspire ; il corrige les vices et les travers ; il réforme le cœur.
Heureux le pauvre ! car il peut en s'endormant oublier la clef sur sa porte, sans craindre qu'un voleur, en passant, ne vienne à déranger son doux sommeil.
Tout plaisir différé perd la moitié de son prix.
L'amour le plus désintéressé n'est encore que de l'égoïsme.
Il est des cœurs si engageants que, dès le premier contact, on prend tout de suite avec eux le ton d'une intimité parfaite.
Même en partant de plus bas que les autres on peut arriver plus haut.
Il y a des bienfaits si insultants pour l'homme de cœur qu'il ne les pardonne jamais.
Deux cœurs qui s'aiment éperdument n'ont pas besoin de se parler haut pour s'entendre.
L'égoïsme est partout en ce monde, la pitié est nulle part.
Le plus grand malheur pour une bonne âme est de n'avoir personne à plaindre.
Le hasard, ce grand renverseur de projets qui se joue de nos espérances et de nos craintes, prend souvent plaisir à faire mentir les calculs de l'expérience.
Le contentement de soi-même enlumine.
La première condition d'un amour vrai, c'est la facilité à se laisser abuser par toutes les apparences.
Il est un tact délicat, espèce de seconde vue, qui n'est donnée que par lueurs passagères à l'homme, mais qui, chez la femme, est une lumière toujours vivante.