L'homme qui tombe dans la misère, qui découvre la pauvreté, n'a plus un rayon de soleil à lui, plus d'espérance. Il voit tomber une à une autour de lui ses illusions, ses affections, ses joies, ses appuis. Et il faut qu'il traîne ses jours dans ces sentiers rocailleux, où les haies n'ont plus de fleurs et les arbres plus d'ombre.