Les citations sur la mort.
Les 81 citations et proverbes mort :
Plus on fut élevé, plus la mort est horrible, et du trône au cercueil le passage est terrible.
Plus on vit, et plus on perd, la mort prend tous les êtres qu'on aime.
La mort est un huissier. Les maladies sont ses assignations.
Le croque-mort est un garçon de recette qui vient toucher le billet de la mort à l'échéance de la vie.
La mort est un pont suspendu entre la vie et l'éternité.
La mort n'est que le berceau de l'éternelle vie.
Mon père est mort comme il a vécu, tranquillement et sans bruit.
La mort, selon le jour et mon humeur, je la désire, je la repousse.
La mort est un aimable gentleman qui vient vous prendre sans douleur pour vous emmener dans un beau pays où l'on retrouve ses chers disparus.
La mort est la dernière parole du destin.
Mise à mort : Forte et immédiate réduction de l'espérance de vie.
Dieu, qui tient à ses lois la nature asservie, veut que partout la mort y succède à la vie.
À côtoyer la mort, tu te raccroches à la vie.
La mort est la veilleuse auguste de la vie, la lueur allumée au sommet du destin.
Je ne crains pas la mort... d'autrui.
Nous avons tous quelqu'un que notre mort arrangerait !
Je culpabilise à l'idée que le jour de ma mort je serai peut-être le seul à ne pas être triste.
La mort c'est juste un examen où tout le monde est reçu.
J'ai demandé à Dieu de supprimer la peine de mort prévue dès l'acte de naissance. Il a refusé sous prétexte que ça lui ferait perdre sa clientèle.
Mieux vaut une mort brève qu'une mort interminable.
L'idée me réjouit de savoir que, 5 minutes seulement après ma mort, j'aurai amélioré de 30 secondes mon record d'apnée, qui est actuellement de 4 minutes 30.
On pourrait considérer que fleurir une tombe c'est de l'acharnement thérapeutique, mais c'est surtout faire douter la mort de sa victoire.
La vie a du bon, mais que savons-nous si la mort ne nous tient pas en réserve des plaisirs plus vifs ?
Le renoncement est un flirt avec la mort.
Il y a beaucoup de gens dont la mort me surprend parce que je les croyais décédés depuis longtemps.
Comme la mort des autres fait mal lorsqu'elle vous donne conscience de la vôtre !
La mort en elle-même n'est pas un problème puisque c'est une certitude. En fait, le seul vrai problème, c'est la date.
Pour une femme, la mort du mari c'est quelque chose de très veuvifiant.
Puisqu'on ne peut éviter la mort, que des regrets tardifs, inutiles, ne s'échappent point de nos lèvres glacées au moment de terminer le dernier voyage. Adoucissons au contraire les adieux déchirants du départ ; cachons sous des fleurs la pâleur de nos fronts déjà couverts d'une sueur mortelle, et, sachant mourir en sage, que la fin de notre vie ressemble au soir d'un beau jour.
La mort, a-t-on dit, frappe indistinctement le riche et le pauvre, mais dans quelle effrayante disproportion ! Le premier ne doit le plus souvent les maladies qui abrègent ou tourmentent son existence, qu'au déchirement intérieur de ses passions non satisfaites, à la soif inextinguible des honneurs, des richesses, des plaisirs, à l'abus de tout ce qui devait le rendre heureux. Le pauvre, au contraire, flétri par la misère, par le travail, sans cesse exposé à des influences délétères qu'il ne peut éviter, privé du nécessaire lorsque l'homme opulent est accablé du superflu, succombe, sans pouvoir opposer à la mort que des larmes inutiles.
N'attends pas la mort en condamné, attends-la dans les bras de l'espérance.
Comme elle nous préoccupe peu, notre grande dette, la mort !
La vie regarde la mort avec effroi ; la mort regarde la vie avec appétit.
C'est surtout la mort dont le lendemain vaut mieux que la veille.
Il y a deux points de vue d'où la mort se montre bien différente. De l'un de ces points vous apercevez la mort au bout de la vie, comme un fantôme à l'extrémité d'une longue avenue : elle vous semble petite dans l'éloignement, mais à mesure que vous en approchez elle grandit ; le spectre démesuré finit par étendre sur vous ses mains froides et par vous étouffer. De l'autre point de vue la mort paraît énorme au fond de la vie, mais à mesure que vous marchez sur elle, elle diminue, et quand vous êtes au moment de la toucher, elle s'évanouit. L'insensé et le sage, le poltron et le brave, l'esprit impie et l'esprit religieux, l'homme de plaisir et l'homme de vertu, voient ainsi différemment la mort dans la perspective.
La cendre d'un mort, quel que fût de son vivant le décédé, est sacrée. La poussière des tyrans donne d'aussi grandes leçons que celle des bons rois.
La Mort, selon les Sauvages, est une grande femme fort belle, à laquelle il ne manque que le cœur.
L'ennui est un siècle, et la mort un moment.
Chaque instant est celui de la mort d'un homme et de la naissance d'un autre.
La mort n'a rien d'affreux pour celui qui n'a rien à craindre dans une autre vie.