Il est des maisons où l'on fait un jour par semaine un festin d’empereur ; le reste du temps, on s'y nourrit de pain sec et de rogatons. Vivent les banquets ! mais un bon ordinaire a son prix, et l'ordinaire du cœur est une chère compagnie dont il ne peut plus se passer, une amitié partagée, tendre et fidèle, accompagnée d'un impérieux besoin de vivre ensemble.