Aimez les pauvres, car après votre mère et votre père, vos sœurs et vos frères, ce sont eux qui ont le plus besoin de vous. Qu'ils soient votre seconde famille ; ne leur fermez ni votre porte, ni vos cœurs, ni votre bourse ; donnez-leur surtout du travail, si vous le pouvez : car le travail ne dégrade pas l'homme, et le nourrit mieux que l'aumône. Donner du travail, c'est plus, c'est mieux que de donner de l'argent ; c'est la meilleure des charités pour ceux qui la font et pour ceux qui la reçoivent.