La dissipation fait perdre un temps si prodigieux, que si l'on perd encore tous les petits intervalles qu'elle peut laisser de libres, il ne restera presque plus rien pour l'étude et les occupations raisonnables, Il faut donc s'accoutumer à ne jamais passer un instant dans une entière oisiveté, et se préparer un petit travail pour ces occasions si souvent renaissantes qu'on appelle moments perdus.