Laissons pleurer celui qui vient de perdre un être dont l'existence faisait partie de la sienne. Le temps seul peut guérir sa blessure. Pleurez avec celui qui ressent une douleur amère, pleurez longtemps avant de prononcer le mot de résignation ; vos discours l'importuneraient ; vos larmes lui inspirent une sorte de reconnaissance et lui font sentir qu'il n'a pas tout perdu.