La modestie et la pudeur sont les plus beaux attributs du sexe féminin.
La pudeur est une divinité adorée même de ses ennemis.
Songez que des reproches excessifs peuvent ôter aux gens toute pudeur.
La pudeur, une des principales chaînes de la société, et le rire, particulier à l'homme, prouvent évidemment l'existence d'un beau idéal.
La pudeur est un phénix qui se consume dans l'amour, mais pour renaître du bûcher.
Le respect de soi-même est la pudeur du caractère, la sauvegarde de la moralité.
La pudeur a inventé les ornements.
La pudeur est toujours le caractère d'une sensibilité profonde.
Tout ce que la pudeur a pris soin d'interdire, déshonorant à faire, est déshonnête à dire.
La pudeur ajoute encore à la beauté.
Je me défie toujours des femmes qui portent des caleçons : c'est la pudeur avec une enseigne.
Une belle femme sans pudeur est une fleur sans parfum.
La modestie est à l'esprit ce que la pudeur est à la beauté.
La pudeur n'est peut-être ni de la crainte, ni de l'espérance, ni de l'amour, mais un composé de tout cela.
La pudeur est semblable à une fleur dont le parfum s'évapore dès qu'elle est épanouie.
Mystère, amour et pudeur ; voilà la femme : gardez-vous d'arracher le voile qui la couvre, vous taririez la source de son bonheur et du vôtre.
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