Les femmes possèdent toutes les qualités qui créent les coteries et constituent leur splendeur. Elles ont l'enthousiasme rapide et le discernement court ; en outre l'afféterie règne dans leurs idées. Enfin, pleines de tact, d'adresse et de liant, elles adoucissent l'aspérité des prétentions les plus exigeantes. En littérature, en politique et même en religion, les femmes ont donc toujours présidé à la naissance des coteries, et veillé sur leur premiers pas. Il y a plus : sont-elles privées des séductions que les femmes exercent à leur profit, les coteries tombent sur le champ : la base leur manque.