On a souvent observé que les fautes des hommes qui se piquent de raisonner sont plus graves et plus irrémédiables que celles des étourdis, et de ceux qui ne prévoient rien. Il reste peu de ressource à qui fait une faute le sachant bien. Lorsqu'au contraire elle est imprévue, l'étonnement peut conduire au repentir, et le repentir au changement.