Les citations sur la santé.

L'homme reçoit avec la vie le principe de sa destruction. Il est placé dans la prédominance du tempérament que la nature lui a donné ; il se développe en raison des circonstances physiques ou morales qui l'environnent et qui agissent plus ou moins fortement sur lui. S'il savait reconnaitre ce principe, le favoriser dans ses utiles développements, et le combattre quand il agit d'une manière nuisible, il jouirait d'une meilleure santé, vivrait plus longtemps, et sans doute serait plus heureux.

Je n'ai plus le cœur à rien, je sens ma santé dépérir, je prends la vie en dégoût.

Que les petits grandissent et se fassent sages, que les grands se soutiennent et soient heureux, que tous soient calmes, satisfaits, reconnaissants, et que la santé du corps couronne celle de l'âme !

La santé est universellement considérée comme le moindre des biens et il est dans la vie peu d'affaires importantes où la santé, lorsqu'il en est question, ne se trouve reléguée à la dernière place. Cela tient peut-être en partie, mais en partie seulement, au fait que la vie est le lot des gens sains, qui comme toujours en ce cas méprisent ce qu'ils possèdent ou n'imaginent pas qu'ils puissent le perdre.

Le temps est une assez pauvre ressource pour l'homme qui ne saurait compter sur une semaine entière de santé.

La santé est la première des libertés, et le bonheur en est la base.

Au fil des années qui s'écoulent et qui passent on aperçoit les limites toujours plus étroites de sa force, et la minceur de sa santé.

Il faut sonder sa santé et ses forces avant que de s'embarquer dans toute entreprise.

La santé est, de tous les trésors, le plus précieux et le plus mal gardé.

Ô sagesse ! ô santé ! trésors dignes d'envie, sans vous qu'est-ce que l'homme, et qu'est-ce que la vie ?

Vu mon état de santé, je crois qu'on me remettra la médaille de la longévité à titre posthume.

Sans la santé on ne jouit de rien, et l'on ne peut conserver la santé que par la sagesse et par la sobriété.

Rien n'est préférable à la santé, mais pour la conserver ou la recouvrer, n'écoutons que la nature. Reconnaissons que nos maux sont presque toujours notre ouvrage, et qu'il nous serait facile de les éviter. Il suffirait, pour y parvenir, de bien se connaître soi-même, d'étudier nos points de contact avec tout ce qui nous environne, de calculer l'effet des aliments et des boissons sur notre organisme, l'influence de l'air que nous respirons.

L'état de santé est le premier bien de l'homme : quels trésors pourraient nous dédommager de sa perte ? Quelle vie que celle qui s'écoule dans les angoisses et dans les douleurs !

Notre santé n'est qu'une maladie palliée sans cesse par des remèdes journaliers.

La raison et la santé, le savoir et la vertu sont les vrais trésors de l'homme.

Quand je pense qu'il ne m'est plus possible d'être une semaine, ni deux jours, ni un jour tout entier sans pâtir par quelque organe, sans avoir à me plaindre de ma santé, sans éprouver des tiraillements, de la pesanteur, de l'incommodité quelque part, je me dis : Ô carcasse ! Que la vieillesse est rude.

Une bonne santé et des forces soutenues sont de vrais trésors.

L'homme malade devient un fardeau à lui-même et aux autres ; fais tout pour garder ta santé.

Combien de gens négligent leur santé à trop boire à la santé des autres !

Qui prodigue sa santé en est bientôt ruiné.

La santé est un bien qui demande de l'économie.

Notre mort est une fonction de la nature, notre vie en est un mystère, et notre santé un prodige. La nature fait toujours son devoir, mais elle nous empêche souvent de faire le nôtre. Il faut lui donner un frein.

Les inquiétudes de santé et l'éternel provisoire m'ont habitué à la rêvasserie inféconde et aux ajournements indéfinis.

La santé est un fil auquel sont attachés presque tous les biens.

La vie appartient aux gens bien portants qui prennent soin de leur santé.

Il n'y a point de vrai bonheur sans la santé, car, lorsque le corps est dans les souffrances, l'âme ne saurait goûter aux plaisirs.

La santé est le premier des biens après la paix du cœur.

Un bon estomac est le fondement de la santé, la sobriété et la tempérance en sont les instruments.

La santé est le trésor le plus précieux et le plus facile à perdre, c'est cependant le plus mal gardé.