La vie est courte, et le bien-être plus bref encore ; les heures de santé sont désormais un sursis, un répit. Emploie-les bien.
Négliger de s'occuper de sa santé, c'est déraisonnable ; s’en occuper trop, c'est bien pire.
La santé est fille de l'exercice et de la tempérance.
La vie se perd à chercher son bien-être, quand la santé est chancelante, rien n'y remédie.
Les bonnes mœurs produisent la santé.
La sobriété rend la nourriture la plus simple très agréable. C'est elle qui donne, avec la santé la plus vigoureuse, les plaisirs les plus purs et les plus constants.
Dans la prospérité les délices d'une vie molle usent bien plus la santé que les travaux les plus pénibles.
Les hommes peuvent conserver leur santé et leur force sans vin, mais avec trop vin ils courent le risque de ruiner leur santé et de perdre leurs bonnes mœurs.
Que le Ciel vous comble de tous ses dons, d'une longue jeunesse et d'une santé constante.
Le symptôme le plus sûr de la santé de l'âme c'est le calme du cœur.
La modération est la santé de l'âme.
Il n'est point de trésors qui vaillent une année de santé.
Il faut gouverner sa fortune comme sa santé ; en jouir, lorsqu'elle est bonne, prendre patience, lorsqu'elle est mauvaise, et ne jamais recourir aux moindres remèdes violents qu'à la dernière extrémité.
Le bonheur est l'absence des peines, comme la santé est l'absence des maladies.
Le Ciel est plus soigneux de la santé de notre âme que de celle de notre corps, car celui-ci tire ses remèdes de dehors, et l'autre les trouve en elle-même.
La sobriété et la continence sont nécessaires à la santé, et la santé à l'esprit et au jugement.
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