On s'accommode très bien de la puissance d'un sot qui ne s'est donné que la peine de naître ; on s'en accommode d'autant mieux qu'on espère pouvoir, grâce à sa sottise, le manœuvrer plus ou moins ; tandis qu'un garçon de mérite, s'élevant par son mérite, offre un spectacle décourageant à tous les points de vue.