L'heure du plaisir n'est pas à nous, en vain nous voulons la retenir, elle fuit, elle s'envole malgré nos soupirs égoïstes ; l'heure de la douleur nous domine, en vain nous voulons la chasser ; elle reste, elle nous étreint lentement, et il nous faut la subir malgré nous. Que nous sommes donc peu de chose ! Nous dépendons de tout, du temps, des événements, des hommes, et comme si ce n'était pas assez, nous avons encore au-dedans de nous-mêmes nos passions pour tyrans.