J'ai un parti à prendre et cela m'oppresse, comme toujours ; surtout quand j'ai charge d'âmes. Je suis toujours comme l'oiseau sur la branche et je sens bien que cet état précaire ne peut durer. Mais une résolution me coûte, parce qu'il faut souffrir ou faire souffrir, parce qu'il faut trancher un nœud, parce qu'il faut affronter l'inconnu, risquer l'avenir, tenter le sort, et qu'il m'est impossible de tout satisfaire. Or, choisir, opter, brutaliser m'est antipathique.