Accoutumons-nous à envisager du même œil les honneurs et les outrages du vulgaire ; il ne faut ni s'en affliger ni s'en réjouir. Autrement, par la crainte ou l'ennui des affronts, nous négligerons les choses les plus nécessaires, nous manquerons à nos devoirs et privés et publics, victimes de la misérable crainte d'entendre quelques paroles qui nous déplaisent.