Fumier à pleines fourches, seigle à pleins sacs.
Engraisse avec du fumier de mouton et sème aussitôt, tu auras de l'orge à foison.
Goémon moisi et fumier pourri font que le laboureur se redresse ; goémon pourri et fumier moisi mettent le laboureur à chercher son pain.
Avec les prairies on nourrit le bétail, le bétail donne du fumier, le fumier donne du blé.
Chaque couche de neige vaut une couche de fumier.
La neige au mois de février est moitié fumier.
S'il tonne en février, il faut jeter les fûts sur le fumier.
Celui qui vend une voiture de fumier enlève un mille de paille à son grenier.
Un escarbot (un scarabée) sur un fumier se croit un riche financier.
À museau de porc fumier ne pue point.
Travail de femme et fumier de chien n'ont jamais enrichi leur maître.
À pauvre homme vigne de sable, et fumier de cailloux.
Le coq se nourrit mieux sur son fumier.
Si l'on enterre le fumier en nouvelle lune, il est mangé par les vers.
L'arrosage te donnera les aliments qu'il te faudra, du bétail de belle apparence, et du fumier en abondance.
Mets du fumier dans ton pré en abondance, avant d'y jeter la semence.
Loin de l'étable le bétail l'envoyer, c'est vouloir fort peu de fumier.
Le fumier, changeant de nature, devient or par l'agriculture.
De froment récolte abondante, veut au champ du fumier qui sente.
Si tu veux l'employer entier, en hiver étends ton fumier.
Ton fumier au champ ne voiture, que pour l'enterrer à mesure.
Du fumier que le tanneur laisse, n'use jamais qu'avec sagesse.
Sachez que de la race ovine, le meilleur fumier c'est l'urine.
En automne, un parc de brebis, laisse un fumier qui vaut son prix.
Le fumier que le cheval rend, bien pourri doit aller au champ.
La chaux jetée avec fréquence, est des fumiers le plus intense.
Le fumier s'accrott de la terre, qu'on ramasse sous la litière.
Voulant ton fumier bien tenu, ne regrette pas quelque écu.
Veux-tu voir le fumier putride ? Tiens-le toujours assez humide.
À l'ombre qui tient son fumier, le traite en homme du métier.
Avec fumier tout ira bien, et sans fumier tu n'auras rien.
Fosse à fumier trop exiguë, veut grenier de peu d'étendue.
Si le pain vient de la farine, le fumier du grain est la mine.
La moisson provient en entier, Non du semoir, mais du fumier.
Sans bétail, fosse à fumier vide, et sans fumier, travail aride.
Sans fumier, pas de bon terrain ; avec fumier, bon fruit certain.
Le sol jamais ne s'appauvrit, tant que le fumier l'enrichit.
Terre où le fumier se prodigue, ne redoute point la fatigue.
L'agriculture et le fumier, en tout temps doivent s'allier.
Double le fumier seulement, le produit doublera souvent.
De tout temps la bonne culture,veut de fumier grosse mesure.
Tiens le bétail et tout ton monde, éloignés du fumier immonde.
Labour d'été vaut du fumier.
L'œil du fermier vaut fumier.
Fumier de fougère, cueillette légère.
Le dieu de la terre, c'est le fumier.
Point de fumier sans prés, et sans fumier point de blé.
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