Si tu veux réussir et t'en sortir, travaille : Jamais les dieux n'ont aidé les gens paresseux.
Garde-toi de dépenser inutilement le temps, il n'est pas de dépense plus chère au monde.
Fuis la paresse et l'oisiveté, elles engendrent le vice et l'ennui, et n'ont produit que des vauriens.
Garde en mémoire que l'avenir te sera plus doux si tu emploies bien le temps présent.
Forme ton jugement plus encore que ton esprit, et occupe-toi de choses plus utiles qu'agréables.
Si tu t'ennuies et que tu trouves le temps trop long, lis un bon livre ou étudie afin de t'instruire.
Que le malheur d'aujourd'hui te soit une épreuve qui te fasse éviter le malheur de demain.
À quelque chose malheur est bon, souviens-toi de cette pensée, et que cette pensée te console.
Sois patient et calme dans l'adversité, tu en ressortiras plus fort pour affronter d'autres difficultés.
Sois juste et droit, n'oublie jamais qu'une pauvreté honnête vaut mieux qu'une richesse mal acquise.
Dans ta jeunesse, si tu as le mérite de gagner correctement ta vie, pense à ta vieillesse.
Sois économe mais non avare, et si tu peux aider plus pauvre que toi, sois généreux à l'occasion.
Évite les dettes, c'est un boulet rivé à tes pieds qui t'arrêtera à chaque pas, s'il ne te jette à terre.
Pense avant d'agir, mais ne remets jamais au lendemain ce que tu peux faire la veille.
Soigne et veille sur ta santé, car si ton corps tombe malade, ton esprit le sera.
Ta bonne réputation faite, prends garde de la perdre, car une fois perdue, elle se retrouve rarement.
Ne te hâte point de t'enrichir : à une grande fortune préfère toujours une bonne réputation.
Si tu n'as rien à te reprocher, souviens-toi qu'une bonne conscience vaut mille témoins.
Avant de faire un acte honteux, crains le témoignage de la conscience, à défaut des yeux d'autrui.
Ne te contente pas de t'abstenir des fautes, mais évite tout ce qui pourrait en faire naître le soupçon.
Écoute toujours la voix de ta conscience, c'est le meilleur conseiller que tu puisses avoir.
La modération nous donne une humeur facile, quand on a peu de désirs, on a peu de privations.
Que tu sois riche, ou que tu sois pauvre, n'insulte jamais un homme plus infortuné que toi.
Si demain tu dois commander d'autres personnes, sache avant tout te gouverner toi-même.
Fais le bien selon tes facultés, il en coûte bien souvent si peu pour rendre un homme heureux.
L'homme qui chérie celle qu'il a pris pour épouse, doit avoir pour sa femme les plus tendres attentions.
As-tu commis une acte honteux ? Commence par rougir, repend-toi, puis demande pardon.
Si tu veux profiter de l'expérience des plus âgés que toi, écoute beaucoup, et ne parle qu'à propos.
La famille unie qui ne vit ni dans l'abondance, ni dans la souffrance, jouit d'un bonheur inestimable.
L'hypocrisie ne peut longtemps subsister, elle n'a que peu de temps pour tromper.
Si tu veux conserver ton ami, évite l'abus des louanges : Trop de flatterie n'est pas de l'amitié.
La beauté d'une femme plaît beaucoup, mais elle passe ; un bon caractère plaît moins, mais il reste.
Pour vivre heureux, jouis de la fortune que tu as, sans t'inquiéter de celle que tu n'as pas.
L'envie de plaire n'est louable qu'autant qu'on cherche en même temps à se faire estimer.
Les gens les plus attachés à la vie sont presque toujours ceux qui savent le moins en jouir.
Un des premiers devoirs de l'amitié est de prévenir les demandes de ses amis afin de les aider.
La première, la plus importante et la plus agréable qualité d'une femme, est la douceur.
Le bonheur du riche ne consiste pas dans les biens qu'il a, mais dans le bien qu'il peut faire.
Dans la prospérité, les amis attendent qu'on les appelle ; dans l'adversité, ils se présentent d'eux-mêmes.
Apprends comme si tu ne savais rien, et crains surtout d'oublier ce que tu as appris.
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