Les proverbes sur les parents (2)
Les meilleurs proverbes sur les parents :
Mieux vaut avoir des parents malfamés que d'être orphelin.
L'affection entre parents se prolonge dans celle de leurs enfants.
Regardez vos parents comme des Dieux.
L'honneur que vous rendrez à vos parents assurera le bonheur de votre vie.
On ne peut survivre à un père et à une mère que pour pleurer plus longtemps.
Honore ton père et ta mère si tu veux vivre heureux.
L'oppression des parents est plus amère qu'un coup de sabre.
Chaque parent pense que son enfant est le plus beau.
Attends de tes enfants les mêmes égards que tu auras eus pour tes parents.
Quand la femme se remarie, ayant des enfants, bien souvent elle leur fait un ennemi pour parent.
Un parent, venant de loin, arrive quand le soleil s'est déjà couché.
Du parent de l'idiot, la honte est le lot.
Il faut se rendre utile aux parents et aux amis avant de servir autrui.
Le voisin a le pas sur les parents.
Quand les parents s'entraident, le malheur ne peut pas les atteindre.
Les parents seront toujours plus chers à l'homme que ses meilleurs amis.
Celui qui diffame son parent pue.
Favoriser tes parents, c'est t'éloigner de la loi.
Qui replante du persil replante le premier de ses parents.
De bons parents doivent savoir pardonner, et punir à propos.
Assiste tes parents, soutiens-les sur le déclin de leurs jours.
Ecoute les conseils de tes parents, car ils te parlent pour ton bien.
Sois reconnaissant envers tes parents, car ils t'ont donné la vie.
Ta mauvaise main (parent) tu ne pourras pas la couper (abandonner).
Droit des parents, droit de l'enfant.
Calomnier ses parents, c'est se calomnier soi- même.
Père et mère qui sont loin, n'entendent pas les pleurs et les cris de leur enfant.
Ne méprise ni un pauvre parent, ni un petit ennemi, ni un mince présent.
La querelle entre parents fume, mais ne flambe pas.
Un parent est une partie de notre corps ; un ami est une partie de notre âme.
Écoute ton père et ta mère, parce qu'ils ont mangé plus de pain que toi.
Le thé et la bénédiction des parents, nul ne s'en rassasie.
Les parents sont la peau, et la femme n'est qu'un vêtement.
La querelle des parents est un hoquet.